A. (Intitulé de la première sous-partie)
B. (Intitulé de la seconde sous-partie)
A. (Intitulé de la première sous-partie)
B. (Intitulé de la seconde sous-partie)
Arrêter des subdivisions constituant un ensemble cohérent. Pour chacune de vos divisions et subdivisions, l'ordre selon lequel seront présentées les différentes questions que vous y faites entrer, doit être rigoureux et logique. Cela signifie que ces divisions, bien qu'elles demeurent distinctes, doivent former un ensemble : il ne faut pas creuser un fossé entre chacune d'elles. Il importe de préciser que trop de divisions et subdivisions empêchent, de suivre le développement, car pour suivre, il faut garder le plan toujours présent à la mémoire, et comment le faire si ce plan est un arbre aux rameaux touffus ?
Dégager du sujet l’idée générale, fondement du plan. Examinez quelles sont les questions que vous avez désignées pour être spécialement développées. Elles doivent être réparties entre les grandes divisions de votre travail. Il en faut au moins une dans chacune des parties. Cet examen va déjà probablement vous guider quant au plan à adopter.
Dans toute la mesure du possible, le plan doit être commandé par l'idée générale qui domine le sujet . Ce sont les branches de cette idée qui doivent vous donner la trame. Et tout est parfait si ces deux branches s'opposent.
La recherche de l'originalité ne doit pas toutefois vous conduire à l'obscurité . La première qualité d'un plan est d'être fondée sur une idée claire, facile à saisir et à retenir.
Si vous ne pouvez pas dégager de votre sujet une idée générale susceptible de servir de base à votre plan, vous avez bien des chances de tomber dans un plan « passe-partout ». Efforcez-vous alors de 1'« habiller », ou plutôt de le « déguiser », en choisissant un intitulé qui le rajeunira, en le dissimulant derrière un semblant d'idée générale.
Souvent l'intitulé même du sujet paraît contenir un plan. N'adoptez ce plan sans réfléchir longuement, car le plus souvent, il ne vaut rien. Par exemple, si on vous demande d'exposer « les avantages et les inconvénients » d'une institution, n'adoptez jamais cette division, qui vous exposerait à des redites.
C'est, en effet, une règle absolue à respecter : ne jamais choisir un plan tel qu'il oblige à reprendre dans la seconde partie ce qui a été développé dans la première et inversement.
Lorsque vous avez à comparer deux institutions, ne consacrez pas la première partie à l'une et la seconde à l'autre, pour vous contenter dans la conclusion de relever les ressemblances et les différences. Tout votre travail doit être, dès le début, consacré à comparer. Cherchez donc les idées générales qui gouvernent la comparaison ou les points principaux sur lesquels le rapprochement des deux institutions présente un intérêt, et bâtissez là-dessus votre plan.
Lorsque vous avez à faire une étude critique d'une institution, un plan « passe-partout» consiste à montrer, dans une première partie, comment fonctionne cette institution en soulignant ses inconvénients, pour tracer les remèdes à apporter, dans une seconde partie où l'on placera l'étude des projets déposés et du droit comparé. Essayez de trouver mieux en tachant de fonder votre plan sur une idée générale.
Autre règle : il n'y a pas qu'un seul plan possible par sujet. On peut en découvrir souvent un grand nombre qui sont acceptables ; les rechercher et en comparer les mérites constitue un excellent exercice.
Annoncer avec cohérence l’enchaînement des divisions . Vous avez adopté une division. Vous l'avez annoncée, en la justifiant, à la fin de votre introduction. En abordant la première partie, indiquez le titre de cette partie. Puis, avant d'écrire l'intitulé de la première sous-partie, annoncez, dans un « chapeau » de deux ou trois lignes les sous-parties qui vont être traitées dans la première partie.
Enfin, entre les sous-parties et, surtout, entre les parties, il convient d'effectuer une rapide transition. Transition qui vous permettra d'établir, voire de justifier, le lien entre les développements qui précèdent et ceux qui vont .suivre. Ces transitions révèlent la cohérence de votre plan, attestent la logique de votre démonstration. Elles ont donc une importance primordiale et vous permettront, lorsque vous les rédigerez, de vérifier la qualité de votre plan.
Formellement, la structure formelle de votre travail doit donc apparaître de la façon suivante:
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C. La conclusion
Justifier l’exactitude des idées développées . Il vous reste maintenant à conclure. La conclusion doit contenir le résultat de votre travail. Résumez donc l'essentiel de ce qui se dégage de votre étude. Sans doute, vous avez déjà, dans l'introduction, signalé les idées générales qui gouvernent le sujet. Mais, à ce moment-là, vous les avez simplement annoncées, sans les justifier. Vous avez demandé que l'on vous fasse crédit. Maintenant, vous avez tenu votre pro messe et vous vous justifiez de l'avoir tenue. Ce que vous devez faire apparaître dans la conclusion, c'est donc précisément que vous avez démontré l'exactitude des idées avancées, que ces idées découlent de vos développements.
III. Rédaction
Rédiger clairement et avec rigueur . Vous avez consacré la première heure au travail préliminaire (compréhension et détermination du sujet). Consacrez les deux autres à la rédaction. Suivez votre plan pas à pas. Annoncez-le dès la fin de l’introduction. Cherchez avant tout à être clair. Pour y parvenir, choisissez les termes exacts : le langage juridique est un langage précis et tâchez d'écrire des phrases élégantes (surtout ne rédiger pas en style télégraphique) : posez nettement les questions que vous examinez ; présentez avec force les arguments que vous faites valoir et défiez-vous de la subtilité, car elle est l’ennemi de la rigueur et de la clarté.
Efforcez-vous d'écrire lisiblement (ne parlons pas de l'orthographe : vous êtes censé la connaître ; mais n'oubliez pas qu'une méconnaissance trop grande de ses règles est susceptible de vous conduire à un échec). Que votre plan saute aux yeux du lecteur : pour cela, n'hésitez pas, soit à souligner dans le texte les titres de votre division principale, soit à les faire déborder dans la marge (ex. : I. Caractères. II. Effets). Mais n'abusez pas de cette méthode : votre composition ne doit pas ressembler à un tableau synoptique. Qu'elle soit « aérée » et non compacte : n'hésitez pas à aller à la ligne chaque fois que vous abordez une question nouvelle. Avant de vous dessaisir de votre copie, relisez-la.
© DALLOZ 2022
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Organiser son temps, 2 h pour réaliser 2 brouillons, 2 h pour rédiger au propre, étape 1 : analyser le sujet, repérer les termes clés du sujet, interroger les limites du sujet, étape 2 : élaborer le plan, dans le cas d’un plan dialectique, dans le cas d’un plan thématique, étape 3 : mobiliser ses idées et les organiser, mobiliser toutes les idées, organiser ses idées, étape 4 : rédiger l’introduction et la conclusion, l’introduction, la conclusion.
Préparation à la dissertation dans un cadre studieux.
⇨ * 🎞️ Diaporama de la vidéo de méthodologie Annabac pour la dissertation à l'écrit du bac de français. *
⇨ * La dissertation à l'écrit du bac de français 🚀 La méthode Annabac complète (texte de la vidéo de méthodologie rédigée au format PDF) *
⇨ * Dissertation à l'écrit du bac de français 📋 Exemples pour les deux brouillons (version abstraite) pour le jour J *
⇨ * Dissertation à l'écrit du bac de français 📋 Exemple de copies définitives (version abstraite) pour le jour J *
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Une fois le plan détaillé établi, on peut passer à la rédaction de la dissertation. Il est préférable de rédiger d'abord au brouillon l'introduction et la conclusion, éléments essentiels de la copie.
L'introduction comporte trois éléments.
Tout paragraphe commence par un alinéa . Sautez une ligne après l'introduction, avant la conclusion et entre chaque partie de votre développement.
L' amorce permet de délimiter le domaine auquel appartient le sujet en le resituant par exemple dans une époque ou une question littéraire plus large. Ces premières lignes sont décisives pour capter l'attention du lecteur : évitez donc les amorces passe-partout (« Untel, le plus grand écrivain du xix e siècle… »).
La présentation du sujet permet d'aboutir à la problématique .
• Si le sujet est une question, reformulez celle-ci avec vos propres mots.
• S'il s'agit d'une citation, mentionnez l'auteur et citez-la (si elle est longue, ne citez que les mots clés). Il faut ensuite l'expliquer et la problématiser, c'est-à-dire la reformuler sous forme de question.
L' annonce du plan est une étape indispensable pour guider votre lecteur. Gardez-vous de donner la réponse à la question soulevée, mais mettez en valeur la progression de votre argumentation et le lien logique entre les parties.
Voici un exemple d'introduction sur le sujet proposé :
[amorce] Dans Andromaque, tragédie inspirée de l'épisode antique de la guerre de Troie, Racine met en scène le dérèglement des passions à travers une complexe chaîne d'amours non partagés. [présentation du sujet] Charles Péguy déclare à propos des personnages de Racine que : « Tout est adversaire, tout est ennemi aux personnages de Racine : les hommes et les dieux ; leur maîtresse, leur amant, leur propre cœur ». Dans ce jugement, il insiste ainsi sur la solitude tragique du héros racinien. [problématique] Comment cette opinion s'applique-t-elle aux personnages d' Andromaque ? [plan] Nous considérerons d'abord le héros racinien à l'aune des conflits dans lesquels il se débat, puis nous montrerons que la notion d'adversité est caractéristique des héros tragiques de Racine.
Débutez chaque partie en annonçant en une phrase la thèse à démontrer.
La structure de chaque paragraphe est ensuite toujours la même :
– une phrase introductive présentant l'idée clé du paragraphe (argument) ;
– le développement de cette idée, illustré d'exemples brièvement analysés ;
– une conclusion partielle , pouvant servir de transition.
Mettez en évidence votre raisonnement en utilisant des connecteurs logiques qui organisent la réflexion et aident le lecteur à comprendre votre démarche.
Ne cherchez pas à mentionner toutes vos connaissances sur l'œuvre : choisissez uniquement celles qui sont utiles au traitement du sujet.
Il vaut mieux ne pas faire d'ouverture que de faire une ouverture artificielle, sans lien réel avec le sujet.
Plus courte que l'introduction, la conclusion comporte deux éléments :
• un bilan , qui récapitule ce qui a été dit. Il ne s'agit ni de refaire le devoir, ni d'ajouter des idées ou des exemples nouveaux mais d'apporter une réponse claire à la problématique soulevée en introduction.
• une ouverture , qui permet de prendre du recul en replaçant le problème dans une perspective plus large, soit chronologique, soit thématique.
Voici un exemple de conclusion sur le sujet proposé :
[bilan] Le destin tragique des protagonistes d' Andromaque est scellé : en proie à des conflits dont l'issue ne peut être positive, ils inspirent à la fois pitié et terreur. L'adversité à laquelle ils font face, soulignée par Péguy, est caractéristique des héros raciniens. [ouverture] Mythe antique revisité par la tragédie classique, le sort d'Andromaque est universel. Les personnages de Racine, indécis et impulsifs, nous touchent par leur malheur et leur combat pour y échapper.
Faire une fiche sur une œuvre
La dissertation porte principalement sur une œuvre étudiée en classe , vous devez donc bien la connaître. Pour cela, faites une fiche sur chaque œuvre étudiée.
Élaborez également une fiche plus générale sur le vocabulaire de l'analyse litté raire , qui pourra vous servir quel que soit le sujet.
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Analyser le sujet.
, Charles Dantzig affirme : "La poésie ne se trouve pas que dans les vers". Vous direz si vous partagez son point de vue dans un développement argumenté, en vous appuyant sur les textes du corpus, sur ceux que vous avez étudiés en classe ou lus personnellement. Sujet de dissertation de 2006, Séries technologiques |
Rédiger la dissertation.
- Phrase d'ouverture : c'est une considération d'ordre générale, mais elle doit bien sûr être liée au sujet (par exemple le contexte littéraire) |
- Bien suivre le plan détaillé que vous avez élaboré |
- Reprise de l'essentiel de la dissertation - Invitation à aller plus loin (proposer au lecteur un élargissement de la réflexion, sans pour autant aborder un tout autre sujet.) |
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Introduction :
La dissertation est redoutée car c’est une épreuve nouvelle pour un élève de classe de première. Si elle est réputée difficile, c’est surtout à cause de ce caractère inédit. Or, il faut savoir que lorsqu’elle est bien traitée, la dissertation permet d’accéder aux meilleures notes de l’examen.
Voici la définition officielle de l’exercice, tel qu’il est présenté par les organisateurs de l’examen : « la dissertation consiste à conduire une réflexion personnelle organisée sur une question littéraire portant sur l’une des œuvres et le parcours associé figurant dans le programme d’œuvres. Le candidat choisit l’un des trois sujets de dissertation, chacun étant en rapport avec l’une des œuvres au programme et son parcours associé. Pour développer son argumentation, le candidat s’appuie sur sa connaissance de l’œuvre et des textes étudiés dans le cadre de l’objet d’étude, ainsi que sur ses lectures et sa culture personnelle. »
En ce dernier point réside la principale difficulté de l’exercice : le correcteur attend une parfaite connaissance de l’œuvre étudiée pendant l’année et du parcours associé ainsi qu’une culture littéraire plus personnelle.
Le sujet d’une dissertation littéraire peut se présenter sous deux formes :
Exemple 1 : « Moi, j’ai la noblesse du cœur » , affirme Julien lors de son procès. Cette formule vous paraît-elle adaptée pour caractériser le héros du roman Le Rouge et le Noir ?
Exemple 2 : Dans le roman de Madame de Lafayette, est-ce la raison qui guide la Princesse de Clèves ?
Exemple 3 : Julien Sorel est-il un personnage romantique ?
Tout d’abord, il faut repérer les mots-clés du sujet et les définir . Ils représenteront la charpente de la dissertation et guideront le raisonnement. C’est dès le début de l’épreuve qu’il faut se fixer un cap cohérent, au risque de faire un hors-sujet. Il faut s’interroger non seulement sur le sens que possèdent ces mots dans le contexte du sujet, mais aussi hors de ce contexte au cas où ils présenteraient une ambiguïté ou une polysémie, pour pouvoir en jouer dans la dissertation. Voici par exemple les termes clés des trois sujets proposés plus haut et les questions à se poser :
Exemple 1 : L’expression clé est « noblesse du cœur ». Que signifie « noblesse du cœur » de manière générale ? Dans quelles circonstances Julien fait-il preuve de noblesse du cœur ? Le « moi » en tête de phrase a aussi son importance. Pourquoi Julien emploie-t-il ce pronom (il montre que Julien veut se distinguer des autres) ?
Exemple 2 : Les termes clés sont « raison » et « guider ». Que signifie de manière générale « être guidé par la raison » ? Dans le cas de la Princesse de Clèves, à quelles actions de l’héroïne l’expression peut-elle s’appliquer ? À quelles actions ne peut-elle pas l’être ? Que peut-on en conclure sur le personnage ?
Exemple 3 : Le terme « romantique » est à étudier précisément. Fait-on référence ici au romantisme littéraire ou à un romantisme au sens édulcoré actuel, synonyme plutôt de « fleur bleue », de « sensible » ? Quelle signification convient le mieux à Julien ? Pourquoi ?
La question posée, qu’elle soit ou non accompagnée d’une citation de l’œuvre, attend une réponse nuancée puisqu’une dissertation progresse en différentes étapes, chaque grande étape correspondant à une grande partie du plan.
Exemples 1 et 2 : Il faudra étudier les différentes facettes des personnages, montrer en quoi noblesse du cœur et raison ne sont pas leurs seuls moteurs.
Exemple 3 : Il faudra montrer quelles significations du terme « romantique » peuvent correspondre à Julien et si, par certains aspects de sa personnalité, il ne se démarque pas du romantisme.
Ensuite, il faut reformuler la problématique après l’avoir cernée, que ce soit sous la forme d’une question directe ou indirecte. Gardez à l’esprit que la dissertation toute entière est une tentative de réponse à la question.
Exemple 1 : Julien se caractérise-t-il uniquement par la noblesse du cœur ? Est-il sincère ou aveugle lorsqu’il parle ainsi de lui ? Par opposition à qui se définit-il ainsi ?
Exemple 2 : La raison est-elle le seul guide de la princesse ? Quelles autres forces l’animent et comment la princesse tente-t-elle de faire triompher la raison ?
Exemple 3 : En quoi Julien est-il un personnage romantique ? Présente-t-il toutes les caractéristiques des héros représentés dans la littérature romantique ? Est-il seulement romantique en amour ? N’est-il pas parfois opposé aux valeurs du romantisme ?
L’analyse du sujet a normalement déjà pris un bon quart d’heure. Au bout de quelques minutes, vous aurez trouvé plusieurs pistes possibles pour répondre à la question. Sauf qu’en l’état, ces idées ne valent rien. Il faut les appuyer de références précises à l’œuvre, voire de citations (phrases remarquées pendant l’étude de l’œuvre car particulièrement expressives et révélatrices des grands thèmes qui y sont développés).
Un bon vivier d’exemples susceptibles d’être utilisés se trouve dans les autres textes du corpus ou dans votre culture personnelle. Là, le champ est très large : on ne parle pas nécessairement que de romans, ni même simplement de livres mais aussi de musique, de spectacles, de cinéma, de peinture… Ces références vous permettront d’établir des parallèles, des comparaisons, parfois utiles pour affiner votre propos.
Par exemple, comparer l’attitude de Julien ou de la princesse à un autre personnage peut aider à mieux en définir les particularités, la singularité.
À ce stade, il est temps de dégager un plan du brouillon. Deux types de plans sont possibles selon le type de question posée : ouverte ou fermée .
Une question fermée appelle comme réponse : oui ou/et non et invite à la confrontation de ces deux positions contradictoires.
Le plan dialectique s’applique au plus grand nombre de sujets. Le devoir doit alors examiner deux aspects opposés du problème, c’est-à-dire peser le pour et le contre. Chaque partie du devoir va donc développer une thèse différente mais complémentaire de l’autre, la seconde thèse venant plutôt nuancer la première que s’y opposer totalement. Chaque paragraphe constituant ces grandes parties va correspondre à un argument étayant une de ces thèses.
Le plan analytique répond à une question ouverte. Regardez la problématique. Si elle est formée sur un modèle du genre : « Pourquoi, selon vous… ? » ou encore « Qu’est-ce qui, selon vous … ? », il s’agit d’une interrogation ouverte qui attend une réponse précise. Dans ce cas, le devoir devra exposer une seule thèse. Et chaque partie correspondra à un argument étayant cette thèse. Il faut donc trouver plusieurs arguments allant dans le sens de cette thèse. Par exemple, ce plan correspondrait au sujet : « Quelle est l’ambition de Julien Sorel ? ». Chaque partie du plan développerait une forme d’ambition (ambition sociale, ambition amoureuse…)
Le plan dialectique ne consiste pas à prouver une chose puis son contraire : il faut réussir à exprimer une pensée suffisamment nuancée pour ne pas se contredire. C’est là toute la difficulté de l’exercice. Concernant la troisième partie, respecter l’adage connu « thèse – antithèse – synthèse » est inutile car la synthèse se fait dans la conclusion et non avant. L’idéal est de trouver une troisième partie qui « botte en touche », c’est-à-dire qui permette de dépasser l’opposition.
Par exemple, pour traiter le sujet : « Est-il juste d’affirmer que Julien Sorel, le héros du roman Le Rouge et le Noir de Stendhal, représente le type même du héros ambitieux ? », on pourrait montrer :
Une fois le plan déterminé, il faudra construire des parties argumentatives qui développent les thèses et les arguments , en les appuyant, rappelez-vous, sur des exemples précis. Il faut également systématiquement commenter ces exemples. C’est dans ces commentaires que l’expression libre est la plus conseillée. Mais tout ceci se fera au moment de la rédaction, car au brouillon, il faut vous contenter du plan. Rédigez votre plan sur une feuille de brouillon à part. Chaque partie sera composée idéalement de trois sous-parties. Symbolisez-les par des tirets et notez-y les exemples dont vous allez vous servir.
Les titres de vos parties ne doivent pas apparaitre sur votre copie.
Il faut commencer le devoir par une belle introduction , constituée d’un seul paragraphe mais de plusieurs étapes :
N’oubliez pas que chaque paragraphe doit commencer par une phrase introductive , qui annonce l’idée sur le point d’être traitée. Cette idée sera traitée, justement, sur la base d’exemples précis, de citations exactes. Et enfin, le paragraphe devra se terminer par une phrase conclusive , prouvant l’aboutissement du raisonnement. Il est également de bon ton de relier les différentes parties entre elles par des phrases de transition afin de fluidifier la lecture du texte, ce qui est plus agréable pour le correcteur. N’oubliez pas de revenir à la ligne et de marquer un alinéa entre chaque paragraphe, ainsi que de sauter carrément une ligne entre chaque grande partie.
Enfin, la conclusion devra résumer en un seul paragraphe les résultats de la réflexion, mais aussi prendre clairement position si le sujet vous y invite (et c’est souvent le cas). Enfin, il faudra vous efforcer d’ élargir la problématique , pourquoi pas par le biais d’une citation si elle est judicieusement choisie. Mais évitez par contre de terminer par une question, le plus souvent sans intérêt ou même complètement hors-sujet.
Ayez le réflexe de TOUJOURS associer un argument (une idée) et un exemple pour le justifier. Pensez toujours : « J’affirme quelque chose ; il faut que je prouve que j’ai raison de l’affirmer ».
La dissertation est une réflexion personnelle, mais n’employez surtout pas la première personne du singulier. Votre implication dans ce que vous écrivez ne doit pas être perçue par le correcteur. Employez des tournures impersonnelles.
Employez des guillemets lorsque vous citez un passage de texte. En français, les guillemets sont « et », les guillemets anglais "et" ne sont utilisés que si l’on a besoin de mettre des guillemets dans un passage déjà entre guillemets. Si vous voulez couper une citation que vous jugez trop longue, symbolisez les mots manquants par […].
Soulignez les titres d’œuvre lorsque vous serez amené à les écrire.
L’orthographe et la syntaxe doivent être particulièrement soignées.
Pensez à garder environ dix minutes en fin d’épreuve pour vous relire.
Conclusion :
Attention au trop fréquent hors-sujet : même si vous avez l’impression d’avoir compris d’emblée ce que l’on attend de vous, ne vous lancez pas dans l’exercice sans avoir rigoureusement identifié et analysé les mots-clés du sujet ET de l’énoncé. Dans cet exercice, le respect des consignes permet d’obtenir une bonne note. Parce que la dissertation est un exercice délicat, la choisir vous apportera les faveurs des correcteurs et les plus hautes notes en cas de réussite. Si vous désirez la tenter au baccalauréat de français, exercez-vous à plusieurs reprises durant votre année de première.
1 la lecture du sujet.
6 vers le bac procédez à la totalité du premier travail préparatoire., une erreur sur la page une idée à proposer .
Nos manuels sont collaboratifs, n'hésitez pas à nous en faire part.
Oups, une coquille
j'ai une idée !
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La dissertation
Il ne faut pas écrire une dissertation d’une traite. La pensée doit être organisée en parties, chaque partie étant consacrée à une grande idée. Les grandes parties sont ensuite divisées en sous-parties qui se suivent et se complètent pour soutenir et démontrer l'idée défendue. Les parties doivent s'enchaîner et découler les unes des autres. S'il est coutumier de faire plutôt 3 parties, mieux vaut faire deux grandes parties correctes et bien structurée plutôt qu'en ajouter une troisième sans intérêt.
Réalisateur : Julien Tartaglia
Producteur : Les Bons Profs
Année de copyright : 2015
Année de production : 2015
Publié le 13/04/16
Modifié le 22/03/24
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What is moscow prioritization.
MoSCoW prioritization, also known as the MoSCoW method or MoSCoW analysis, is a popular prioritization technique for managing requirements.
The acronym MoSCoW represents four categories of initiatives: must-have, should-have, could-have, and won’t-have, or will not have right now. Some companies also use the “W” in MoSCoW to mean “wish.”
Software development expert Dai Clegg created the MoSCoW method while working at Oracle. He designed the framework to help his team prioritize tasks during development work on product releases.
You can find a detailed account of using MoSCoW prioritization in the Dynamic System Development Method (DSDM) handbook . But because MoSCoW can prioritize tasks within any time-boxed project, teams have adapted the method for a broad range of uses.
Before running a MoSCoW analysis, a few things need to happen. First, key stakeholders and the product team need to get aligned on objectives and prioritization factors. Then, all participants must agree on which initiatives to prioritize.
At this point, your team should also discuss how they will settle any disagreements in prioritization. If you can establish how to resolve disputes before they come up, you can help prevent those disagreements from holding up progress.
Finally, you’ll also want to reach a consensus on what percentage of resources you’d like to allocate to each category.
With the groundwork complete, you may begin determining which category is most appropriate for each initiative. But, first, let’s further break down each category in the MoSCoW method.
Moscow prioritization categories.
As the name suggests, this category consists of initiatives that are “musts” for your team. They represent non-negotiable needs for the project, product, or release in question. For example, if you’re releasing a healthcare application, a must-have initiative may be security functionalities that help maintain compliance.
The “must-have” category requires the team to complete a mandatory task. If you’re unsure about whether something belongs in this category, ask yourself the following.
If the product won’t work without an initiative, or the release becomes useless without it, the initiative is most likely a “must-have.”
Should-have initiatives are just a step below must-haves. They are essential to the product, project, or release, but they are not vital. If left out, the product or project still functions. However, the initiatives may add significant value.
“Should-have” initiatives are different from “must-have” initiatives in that they can get scheduled for a future release without impacting the current one. For example, performance improvements, minor bug fixes, or new functionality may be “should-have” initiatives. Without them, the product still works.
Another way of describing “could-have” initiatives is nice-to-haves. “Could-have” initiatives are not necessary to the core function of the product. However, compared with “should-have” initiatives, they have a much smaller impact on the outcome if left out.
So, initiatives placed in the “could-have” category are often the first to be deprioritized if a project in the “should-have” or “must-have” category ends up larger than expected.
One benefit of the MoSCoW method is that it places several initiatives in the “will-not-have” category. The category can manage expectations about what the team will not include in a specific release (or another timeframe you’re prioritizing).
Placing initiatives in the “will-not-have” category is one way to help prevent scope creep . If initiatives are in this category, the team knows they are not a priority for this specific time frame.
Some initiatives in the “will-not-have” group will be prioritized in the future, while others are not likely to happen. Some teams decide to differentiate between those by creating a subcategory within this group.
Although Dai Clegg developed the approach to help prioritize tasks around his team’s limited time, the MoSCoW method also works when a development team faces limitations other than time. For example:
What if a development team’s limiting factor is not a deadline but a tight budget imposed by the company? Working with the product managers, the team can use MoSCoW first to decide on the initiatives that represent must-haves and the should-haves. Then, using the development department’s budget as the guide, the team can figure out which items they can complete.
A cross-functional product team might also find itself constrained by the experience and expertise of its developers. If the product roadmap calls for functionality the team does not have the skills to build, this limiting factor will play into scoring those items in their MoSCoW analysis.
Cross-functional teams can also find themselves constrained by other company priorities. The team wants to make progress on a new product release, but the executive staff has created tight deadlines for further releases in the same timeframe. In this case, the team can use MoSCoW to determine which aspects of their desired release represent must-haves and temporarily backlog everything else.
Although many product and development teams have prioritized MoSCoW, the approach has potential pitfalls. Here are a few examples.
One common criticism against MoSCoW is that it does not include an objective methodology for ranking initiatives against each other. Your team will need to bring this methodology to your analysis. The MoSCoW approach works only to ensure that your team applies a consistent scoring system for all initiatives.
Pro tip: One proven method is weighted scoring, where your team measures each initiative on your backlog against a standard set of cost and benefit criteria. You can use the weighted scoring approach in ProductPlan’s roadmap app .
To know which of your team’s initiatives represent must-haves for your product and which are merely should-haves, you will need as much context as possible.
For example, you might need someone from your sales team to let you know how important (or unimportant) prospective buyers view a proposed new feature.
One pitfall of the MoSCoW method is that you could make poor decisions about where to slot each initiative unless your team receives input from all relevant stakeholders.
Because MoSCoW does not include an objective scoring method, your team members can fall victim to their own opinions about certain initiatives.
One risk of using MoSCoW prioritization is that a team can mistakenly think MoSCoW itself represents an objective way of measuring the items on their list. They discuss an initiative, agree that it is a “should have,” and move on to the next.
But your team will also need an objective and consistent framework for ranking all initiatives. That is the only way to minimize your team’s biases in favor of items or against them.
MoSCoW prioritization is effective for teams that want to include representatives from the whole organization in their process. You can capture a broader perspective by involving participants from various functional departments.
Another reason you may want to use MoSCoW prioritization is it allows your team to determine how much effort goes into each category. Therefore, you can ensure you’re delivering a good variety of initiatives in each release.
If you’re considering giving MoSCoW prioritization a try, here are a few steps to keep in mind. Incorporating these into your process will help your team gain more value from the MoSCoW method.
Remember, MoSCoW helps your team group items into the appropriate buckets—from must-have items down to your longer-term wish list. But MoSCoW itself doesn’t help you determine which item belongs in which category.
You will need a separate ranking methodology. You can choose from many, such as:
For help finding the best scoring methodology for your team, check out ProductPlan’s article: 7 strategies to choose the best features for your product .
To make sure you’re placing each initiative into the right bucket—must-have, should-have, could-have, or won’t-have—your team needs context.
At the beginning of your MoSCoW method, your team should consider which stakeholders can provide valuable context and insights. Sales? Customer success? The executive staff? Product managers in another area of your business? Include them in your initiative scoring process if you think they can help you see opportunities or threats your team might miss.
MoSCoW gives your team a tangible way to show your organization prioritizing initiatives for your products or projects.
The method can help you build company-wide consensus for your work, or at least help you show stakeholders why you made the decisions you did.
Communicating your team’s prioritization strategy also helps you set expectations across the business. When they see your methodology for choosing one initiative over another, stakeholders in other departments will understand that your team has thought through and weighed all decisions you’ve made.
If any stakeholders have an issue with one of your decisions, they will understand that they can’t simply complain—they’ll need to present you with evidence to alter your course of action.
Related Terms
2×2 prioritization matrix / Eisenhower matrix / DACI decision-making framework / ICE scoring model / RICE scoring model
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La méthode MoSCoW est une technique de priorisation utilisée par les Chefs de projet pour travailler plus intelligemment. Dans ce guide, nous allons expliquer ce qu’est exactement la méthode MoSCoW, comment elle fonctionne, et nous vous fournirons quelques exemples que vous pouvez utiliser pour éclairer votre propre analyse.
En général, la routine quotidienne comprend un grand nombre de tâches. Dans l’idéal, vous aurez suffisamment de temps et d’énergie pour les accomplir toutes, mais il se peut que le nombre de tâches soit immense et que les ressources disponibles ne soient pas en abondance. C’est là qu’intervient la hiérarchisation des priorités.
Ce terme désigne un processus visant à filtrer ce que vous avez à faire par ordre d’importance ou de pertinence. Par exemple, si vous construisez une maison, il est peu probable que vous commenciez par le toit ou les murs avant d’avoir terminé les fondations.
MoSCoW, également connue sous le nom de méthode MoSCoW ou analyse MoSCoW, est une technique de priorisation populaire dans la gestion de projet.
Pour comprendre l’essentiel de la méthode MoSCoW, il faut se pencher sur son origine - la méthode de développement de systèmes dynamiques (DSDM). Il s’agit d’un cadre de gestion de projet Agile conçu dans le but d’améliorer la qualité des processus de développement rapide d’applications (RAD). L’une des caractéristiques des projets DSDM est la détermination stricte de la qualité, des coûts et des délais à un stade précoce. Dans cette optique, toutes les tâches du projet doivent être réparties par importance.
La nécessité de gérer les priorités a déclenché l’invention d’un mécanisme de priorisation spécialisé que l’on doit à Dai Clegg, expert en développement logiciel et consultant chez Oracle. Il a conçu ce cadre pour aider son équipe à hiérarchiser les tâches selon leur degré de criticité.
Avant d’effectuer une analyse MoSCoW, quelques éléments doivent être réunis. Tout d’abord, les parties prenantes du projet et l’équipe produit doivent s’accorder sur les objectifs et les facteurs de priorisation des tâches. Ensuite, tous les participants doivent se mettre d’accord sur les initiatives à prioriser.
À ce stade, votre équipe doit également discuter de la manière dont elle réglera les éventuels désaccords dans la définition de l’ordre de priorité. Si vous pouvez établir comment résoudre les différends avant qu’ils ne surviennent, vous pouvez empêcher ces désaccords de freiner les progrès.
Enfin, vous devrez également parvenir à un consensus sur le pourcentage de ressources que vous souhaitez allouer à chaque catégorie.
Une fois ce travail de base effectué, vous pouvez commencer à déterminer quelle catégorie est la plus appropriée pour chaque initiative.
Mais, tout d’abord, décomposons davantage chaque catégorie selon la technique MoSCoW.
MoSCoW est un acronyme (en réalité, seuls MSCW désignent une catégorie spécifique, les « o » étant utilisés pour faciliter la prononciation). Voici ce que signifie l’acronyme MoSCoW.
Les « must » sont définis comme des initiatives qui sont essentielles à la réussite du projet. Ils sont généralement non négociables et peuvent être utilisés pour décrire des fonctionnalités ou des solutions spécifiques qui doivent être mises en œuvre.
Bien que les initiatives « Should have » ne soient pas essentielles à un produit ou à un projet, elles peuvent apporter une vraie valeur ajoutée. Une initiative « Should Have » est différente d’une initiative « Must Have », ce qui signifie qu’elle peut être programmée pour une version ultérieure.
Les « Could have » sont des initiatives qui ne sont pas nécessaires au cœur d’un produit. Les projets qui sont placés dans cette catégorie sont souvent les premiers à être dépriorisés lorsqu’un autre projet prend plus de temps que prévu.
La méthode MoSCoW place plusieurs initiatives dans une catégorie « Will not have ». Cette méthode vous permet de gérer les attentes concernant ce qui ne sera pas inclus dans une version ou un autre calendrier.
Le fait de placer des initiatives dans la catégorie « Will not have » peut aider à prévenir la dérive du projet. Cette catégorie montre à l’équipe que le projet n’est pas une priorité à ce moment précis.
Tout semble simple en théorie, mais l’est-il en pratique ? Voyons mettre en place une analyse MoSCoW concrètement.
Commencez par réunir les acteurs clés du projet. Il est essentiel que les parties prenantes soient présentes afin que les choix soient validés par tous à l’issue de la réunion. Listez ensuite tous les points clés dont il faudra débattre. L’objectif est de faire une liste la plus détaillée possible de toutes les activités et initiatives à hiérarchiser.
Vous pouvez le faire à l’aide d’un tableur Excel, d’un tableau blanc ou d’une liste des tâches en ligne. Cette dernière option est la plus pratique puisqu’elle est modifiable à l’infinie et elle sera enregistrée et accessible en ligne.
Étudiez les différentes tâches et qualifiez-les selon leur niveau de criticité : Must Have, Should Have, Could Have ou Won't Have. Comme lors de la création d’une carte mentale , n’hésitez pas à utiliser des couleurs pour distinguer les catégories.
Ce travail se fait à l’issue d’un brainstorming collectif au cours duquel vous aurez pris soin de recueillir l’avis de chaque participant.
Aidez-vous d’un tableau Kanban pour hiérarchiser chacune des tâches de votre to do list. Créez simplement une colonne « Must Have », une colonne « Should Have », une colonne « Could Have » et une colonne « Won’t Have » et classez les éléments au fur et à mesure des discussions. Attribuez à chacun un code couleur en fonction de leur degré d’importance.
Une fois que tout le monde a exprimé son point de vue, faites le point et rassemblez toutes les initiatives dans la catégorie choisie. Il faut à présent voir si la charge est conforme aux objectifs et contraintes du projet. Pour cela, mieux vaut garder la tête froide et ne pas succomber à l’envie de tout ranger dans la catégorie « Must Have ».
Rappelez-vous, MoSCoW est une méthode agile , c’est-à-dire qu’elle permet de définir un ensemble de fonctionnalités de base, qui ont la priorité absolue et souligne que vous ne devez rien abandonner. L’équilibre sain entre les éléments indispensables et les éléments souhaitables représente 50 % de l’ensemble du projet.
Toutes (ou presque toutes) les tâches seront mises en œuvre ultérieurement, mais dans l’ordre de leur importance pour votre objectif.
Voici quelques-uns des avantages de la méthode de priorisation MoSCoW :
Flexibilité lors de la hiérarchisation des tâches : La méthode MoSCoW fait la distinction entre les fonctionnalités « indispensables » et celles qui ne le sont pas. Grâce à cela, vous pouvez donner la priorité aux fonctionnalités urgentes et nécessaires pour construire le produit. Vous pouvez ensuite mettre ces dernières de côté pendant un certain temps au profit de celles qui sont moins prioritaires.
Transparence pendant la période de développement : La méthode MoSCoW permet à tous les acteurs clés impliqués dans le développement d’un produit de se concentrer sur une seule liste de priorités. C’est essentiel, car tout le monde comprend chaque élément « indispensable ».
Avec ce niveau de transparence, les développeurs réalisent rapidement quels éléments inclure dans chaque sprint ou itération.
Division des ressources : Un autre avantage de la méthode MoSCoW est une division claire de l’allocation des ressources pendant le projet. Le fait d’avoir des « Must Have » séparés des « Should Have » et des « « Could Have » permet à votre équipe d’affecter clairement des ressources aux fonctionnalités qui sont des ajouts indispensables et d’affecter des ressources aux autres fonctionnalités possibles après les avoir déléguées aux sections indispensables. Cette répartition des ressources est essentielle lors de la gestion d’un projet complexe et aide l’ensemble de l’équipe à comprendre ses attentes et à répartir son temps.
Bien que Dai Clegg ait développé cette approche pour aider à prioriser les tâches en fonction du temps limité de son équipe, la méthode MoSCoW fonctionne également lorsqu’une équipe est confrontée à des limitations autres que le temps.
Par exemple :
Que se passe-t-il si le facteur limitatif d’une équipe n’est pas une échéance, mais un budget serré imposé par l’entreprise ? En collaboration avec les chefs de produit, l’équipe peut d’abord utiliser la méthode MoSCoW pour décider des initiatives qui représentent les incontournables et les souhaits. Ensuite, en utilisant le budget du département de développement comme guide, l’équipe peut déterminer les éléments qu’elle peut réaliser.
Une équipe produit transversale peut également se trouver limitée par l’expérience et l’expertise de ses développeurs. Si la feuille de route du produit prévoit une fonctionnalité que l’équipe ne peut réaliser faute de compétences, ce facteur limitatif jouera dans la notation de ces éléments de l’analyse MoSCoW.
Les équipes interfonctionnelles peuvent également se trouver limitées par d’autres priorités de l’entreprise. Par exemple, l’équipe souhaite avancer dans le lancement d’un nouveau produit, mais le personnel de direction a fixé des délais serrés pour d’autres lancements dans le même laps de temps. Dans ce cas, l’équipe peut utiliser les MoSCoW pour déterminer quels aspects de la version souhaitée sont indispensables et mettre temporairement tout le reste en attente.
Nous sommes tous humains, il est facile de se montrer partial envers certains aspects d'un projet. En identifiant les éléments essentiels, la méthode MoSCoW permet de limiter au maximum cette partialité.
Les chefs de projet peuvent l'utiliser pour obtenir une approche objective et ordonnée de la hiérarchisation des priorités. MoSCoW permet également de concilier les souhaits des parties prenantes tout en tenant compte des contraintes.
En utilisant une plateforme de gestion du travail, vous pourrez suivre les progrès réalisés depuis le lancement jusqu’à l’achèvement du projet. A l’aide d’outils visuels, comme la to do list, les tableaux Kanban , le diagramme de Gantt et bien d’autres, vous pourrez voir en temps réel quelles sont les configurations MoSCoW les plus efficaces pour atteindre vos objectifs.
Centralisation de la planification, visualisation des conflits potentiels et automatisation des tâches sont quelques-uns des autres avantages dont vous pourrez tirer profit dès aujourd'hui avec la plateforme Asana.
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